*~* 1er cours *~* (de la nouvelle année)

Keira Ripoll a écrit:

Marta Ramos a écrit:

" Hum.. oui quand même un peu, pourquoi ? "

-eh bien pour que ses premieres années profites de tes connaissances.. commence donc a leur faire le cours d'histoire de la danse orientale

*s'assoie*

-on t'ecoutes

*sourit*

hj : tu m'pose une colle la.. j'me souviens pas bon jdis son histoire...

dj : *regarde Keira puis les autres élève*

La Danse Orientale est faite de mouvements ronds et grâcieux, principalement axés sur le bassin, et d'isolations des différentes parties du corps. Elle sollicite en douceur tous les muscles du corps et captive l'esprit par ses mélodies et ses rythmes envoûtants, procurant ainsi une profonde sensation de bien-être. Pratiquée régulièrement, elle façonne la silhouette de manière harmonieuse.
Sensuelle et féminine par excellence, la Danse Orientale ne nécessite pas d'effort physique intense et peut ainsi être pratiquée sans limite d'âge, toutes générations confondues, ce qui lui confère un caractère convivial et festif.
Par son action bénéfique sur le corps et l'esprit, la Danse Orientale constitue une excellente et agréable thérapie naturelle contre le stress et la morosité, contribuant ainsi grandement au développement de l'équilibre physique et psychologique.

hj: hihi ^^

*sourit*

*est rasurée et voit que marta reste au top niveau mais ne compte pas la lacher*

-bien, je vois que certaine personnes auront retenues de mes cours

*s'approches des eleves*

-marta vous a tout a fait bien d'ecris ce qu'est la danse orientale, je vais maintenant vous racconter d'ou provient elle

*ecoute*

* diego pris note de ce qui se disait *

* Kaley pris des notes et ecoute attentivement Keira et Marta. *

HJ : super ta tenue Lyra.Voici la mienne

Elle est verte

hj: sont zoliiiiii


*elle commenca leur raconter l'hisoire de la danse orientale*

Dans toutes les civilisations brillantes (pharaonique, grecque, mésopotamienne, arabe, indienne…) la danse et la musique jouaient un rôle non négligeable dans la vie quotidienne, et l’on pratiquait de nombreux cultes religieux en l’honneur des dieux. Il existait également une croyance fort répandue selon laquelle la femme, concevant la vie, possédait un pouvoir magique. Ainsi, en l’honneur de la « déesse mère », les femmes exécutaient des danses de fertilité.


Au fil du temps, et avec la naissance de nouvelles religions (judaïsme et christianisme) prônant l’existence d’un dieu unique, ces rituels sacrés vinrent à disparaître. En effet vénérer plusieurs dieux allait à l’encontre du fondement de ces deux religions. Les nouvelles règles imposées par celles-ci, et la conquête de l’Islam furent certes un obstacle à toute danse, mais instinctivement les femmes surent préserver certains rituels chantés et dansés, et ce de génération en génération.


Ainsi, de Bagdad à Cordoue, en passant par le Caire, il existait des danseuses, dont la plupart étaient des esclaves. Très belles, elles devaient maîtriser l’art du chant, du poème et de la danse. Plus proche de nous au 18ème et 19ème siècle, on distinguait en Egypte plusieurs styles de danse : la danse des dames (en arabe hawanem). Celles-ci, issues de la classe aisée n’étaient pas des professionnelles, mais exerçaient l’art de la danse avec beaucoup de finesse et d’élégance, dans des endroits fréquentés uniquement par des femmes : les hommes ainsi que les étrangers n’étaient admis en aucun cas ! Les femmes qui exerçaient le métier de danseuse faisaient partie de la tribu tsigane des Ghawazi, installée en Haute-Egypte. Elles dansaient pour le petit peuple, et n’avaient pas une bonne réputation, contrairement aux almées (en arabe awalem) qui étaient aussi des danseuses professionnelles, mais plus respectées par le public.



C’est au 19ème siècle, durant l’expédition de Bonaparte en Egypte que pour la première fois on utilisa le terme de « danse du ventre ». En effet, seuls les mouvements du bassin, des hanches ainsi que du ventre parfois dénudé de ces fameuses almées ou ghawazi ne retinrent l’attention de ces soldats en quête d’exotisme.



La danse orientale va connaître une évolution sans précédent dans toute son histoire à partir du début du 20ème siècle. Une femme d’origine syro-libanaise, nommée Badia Masabni entrepris d’ouvrir le plus grand casino au Caire, le « Casino-Opera », offrant des spectacles de qualité à un public colonial, touristique, et à l’aristocratie égyptienne.



Badia Masabni envisagea de développer une danse plus sophistiquée, et plus raffinée que la danse des ghawazi et des almées, en utilisant des éléments nouveaux tel un décor somptueux, une plus large utilisation de l’espace, un vocabulaire technique plus riche, (inspiré du folklore ainsi que des bases de danse classique) l’introduction du voile et du costumes deux pièces à sequins, inspirés tous deux du style hollywoodien.



Ainsi naît le Raks Sharki, que l’on traduit par « danse orientale », danse inspirée de l’orient et de l’occident, beaucoup plus riche et plus technique son ancêtre Raks Baladi (danse populaire ou citadine).

* diego grattait comme un fous sur sa feuille pour essayer de tout noter *

* Kaley écoutait et ecrivait en meme temps

hj:trop zolie vos costume!!!!!!!!!^^

*sort un bloc note,un stylos et prend note de ce qu'a dit Marta,puis de ce qua dit a dit Keira*

*machouille son stylos*

*Prend des notes de ce que dit Keira pour pas se planter dans cette matière comme c'est pas la matière où il est super fort ... *

Keira Ripoll a écrit:

hj: sont zoliiiiii


*elle commenca leur raconter l'hisoire de la danse orientale*

Dans toutes les civilisations brillantes (pharaonique, grecque, mésopotamienne, arabe, indienne…) la danse et la musique jouaient un rôle non négligeable dans la vie quotidienne, et l’on pratiquait de nombreux cultes religieux en l’honneur des dieux. Il existait également une croyance fort répandue selon laquelle la femme, concevant la vie, possédait un pouvoir magique. Ainsi, en l’honneur de la « déesse mère », les femmes exécutaient des danses de fertilité.


Au fil du temps, et avec la naissance de nouvelles religions (judaïsme et christianisme) prônant l’existence d’un dieu unique, ces rituels sacrés vinrent à disparaître. En effet vénérer plusieurs dieux allait à l’encontre du fondement de ces deux religions. Les nouvelles règles imposées par celles-ci, et la conquête de l’Islam furent certes un obstacle à toute danse, mais instinctivement les femmes surent préserver certains rituels chantés et dansés, et ce de génération en génération.


Ainsi, de Bagdad à Cordoue, en passant par le Caire, il existait des danseuses, dont la plupart étaient des esclaves. Très belles, elles devaient maîtriser l’art du chant, du poème et de la danse. Plus proche de nous au 18ème et 19ème siècle, on distinguait en Egypte plusieurs styles de danse : la danse des dames (en arabe hawanem). Celles-ci, issues de la classe aisée n’étaient pas des professionnelles, mais exerçaient l’art de la danse avec beaucoup de finesse et d’élégance, dans des endroits fréquentés uniquement par des femmes : les hommes ainsi que les étrangers n’étaient admis en aucun cas ! Les femmes qui exerçaient le métier de danseuse faisaient partie de la tribu tsigane des Ghawazi, installée en Haute-Egypte. Elles dansaient pour le petit peuple, et n’avaient pas une bonne réputation, contrairement aux almées (en arabe awalem) qui étaient aussi des danseuses professionnelles, mais plus respectées par le public.



C’est au 19ème siècle, durant l’expédition de Bonaparte en Egypte que pour la première fois on utilisa le terme de « danse du ventre ». En effet, seuls les mouvements du bassin, des hanches ainsi que du ventre parfois dénudé de ces fameuses almées ou ghawazi ne retinrent l’attention de ces soldats en quête d’exotisme.



La danse orientale va connaître une évolution sans précédent dans toute son histoire à partir du début du 20ème siècle. Une femme d’origine syro-libanaise, nommée Badia Masabni entrepris d’ouvrir le plus grand casino au Caire, le « Casino-Opera », offrant des spectacles de qualité à un public colonial, touristique, et à l’aristocratie égyptienne.



Badia Masabni envisagea de développer une danse plus sophistiquée, et plus raffinée que la danse des ghawazi et des almées, en utilisant des éléments nouveaux tel un décor somptueux, une plus large utilisation de l’espace, un vocabulaire technique plus riche, (inspiré du folklore ainsi que des bases de danse classique) l’introduction du voile et du costumes deux pièces à sequins, inspirés tous deux du style hollywoodien.



Ainsi naît le Raks Sharki, que l’on traduit par « danse orientale », danse inspirée de l’orient et de l’occident, beaucoup plus riche et plus technique son ancêtre Raks Baladi (danse populaire ou citadine).

*écoute attentivement ce que dit Keira en prennant des notes*

-voilà c'est la seule fois que vous aurez un cours ecris,car c'est une matiere d'expression corporelle

*pren des notes*

*Grifonne a toute vitesse*

*écoute la prof*

*prend des notes*

*continue de prendre des notes*

" L'année precedente on a jamais eu de cours écrit en tout cas "

-par contre cette année j'aimerais qu'avec les 2eme années on organise un spectacle qui sera reversée a une association pour les enfants, ca vous interessent?

" Ah oui bien sur, moi ca m'interesse "

Ah ouais c'est une super idée

-Je vous explique c'est une association que j'ai creee en 1997 avec d'autre personnes, elle s'appelle "pies descalzos" ou tout les benefices sont versé pour les enfants..j'ai divers projets pour l'année 2006 ... notament la constuction d'infrastructures dans la zone de bogota ...

*prend son sac et leur montre le logo de l'asso qu'elle a toujours sur elle*

*ecoute et prend des notes*

Moi s'a minterresse !

*se demande quandelle va pourvoir danser*

*prend des notes*

*écoute*

*souri*
oui ca m'interesse